L’incidence des myopathies sous traitement par statine est évaluée à 1 cas pour 10 000 patients par an aux doses standard (20 à 40 mg/j de simvastatine), mais augmente avec des doses plus fortes, ou avec des traitements concomitants, qui... Lire la suite →
Les antiplaquettaires, tels que l’aspirine ou le clopidogrel ont largement été validés dans le traitement de la maladie vasculaire au sens large. De plus, l’association d’une bithérapie par aspirine et clopidogrel est actuellement le traitement de choix après syndrome coronarien... Lire la suite →
Nombre de cibles moléculaires restent hors d’atteinte des industries pharmaceutiques, et donc des cliniciens. Les raisons varient de l’impossibilité d’atteindre la cible par les voies classiques de la chimie, aux effets secondaires « off-target » inacceptables.
Plusieurs facteurs de risque apparaissent sans ambiguïtés dans les 3 recommandations : l’âge, le tabagisme (actuel ou arrêté depuis moins de 3 mois) et des antécédents familiaux précoces d’infarctus du myocarde ou de mort subite.
Le fléau que constituent les maladies cardiovasculaires a donné lieu au développement d’un arsenal thérapeutique destiné à en réduire les facteurs de risque. Une intense recherche a ainsi permis d’identifier de nombreuses cibles thérapeutiques potentielles parmi lesquelles les récepteurs nucléaires... Lire la suite →
Le syndrome métabolique peut être défini comme une perturbation de nombreuses fonctions de l’organisme incluant de façon variable, des anomalies métaboliques, lipidiques et glucidiques, et vasculaires dans un contexte de stress oxydant, d’inflammation infraclinique et d’insulinorésistance.
Le nombre de personnes atteintes de diabète, en France, est estimé à plus de 2 millions, dont 90% présentent un diabète de type 2. La prévalence de ce diabète est ainsi estimée à près de 3% dans la population française.
L’association entre hypothyroïdie et athérosclérose est connue depuis maintenant plus d’un siècle. En effet, c’est à la fin du XIXe siècle que l’hypothyroïdie dans sa forme myxœdémateuse a été pour la première fois associée à l’athérosclérose, à l’occasion d’autopsies de... Lire la suite →
Le syndrome de Cushing d’origine endogène est une pathologie rare, due dans 80% des cas à un adénome hypophysaire à ACTH, plus rarement à un adénome surrénalien, un corticosurrénalome ou une sécrétion d’ACTH ectopique d’origine paranéoplasique.
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité et de handicap dans les pays développés. Ces pathologies sont la conséquence du processus athéroscléreux, lui-même consécutif à la présence de causes appelées facteurs de risque.